-
DANS LA NUIT DU 25 AU 26 MARS
POÈME D’hierPIRON
1869 - 1773
RONDEAU
Vivent les bruns, en dépit des blondins !
Vive la brune, en dépit de la blonde !
Dans tes tournois, dis nous, dieu des jardins,
Des deux couleurs laquelle est plus féconde.
En beaux faits d’arme et gentils paladins !
Blonde aura bien beaux doigts incarnadins,
Blonds auront bien jolis airs grenadins :
Mais quand au point ou ta gloire se fonde,.
Vivent les bruns !
Du ciel un jour laissant les citadins,
Vénus tata des galants de ce monde :
Pour tous les blonds elle n’eut que dédains,
Si qu’on l’ouit, en finissant sa ronde,
Dire tout haut et se plaignant des reins :
Vivent les bruns !
Diffusion François Beauval
1ér trimestre 1975
J-G-R-C
16 commentaires -
FIN D'AVIS
DE
RECHERCHE
HIER MIDI TEBAN
A ETE RETROUVE A BORDEAUX
SA MAMAN
EST PARTIE LE RECHERCHER
AVIS
DE
RECHERCHE
HIER SOIR LA MAMAN DE TEBAN
m'a demandé de publier cet article
Téban est PARTI AU CARNAVAL DIMANCHE
ET VOILA ,DEPUIS DIMANCHE SOIR
ELLE VIT DANS L' ANGOISSE
Disparu à Céret, Téban, 12 ans,
serait seul en région bordelaise
et toujours recherché
Le 17 mars à 11h38 par l
Pour en savoir plus:
http://isdaelceret.eklablog.com/
18/03/2017 08h00
ROUGETS
en
papillotes
Temps de préparation: 10 minutes
Cuisson : 15/20 minutes
Pour 4 personnes
- 4 rougets barbets.
- sel - poivre.
- huile olive ou arachide.
- 2 échalotes grises.
- persil, ciboulette,
- fenouil, basilic.
Papier d’aluminium.
Prenez des rougets
D’environ 125g chacun.
Ecaillez les, essuyez les,
Assaisonnez les
De sel et de poivre.
Hachez* finement les herbes
Et 2 échalotes grises.
Découpez 4 rectangles
Dans une feuille d’aluminium.
Huilez les.
Mettez un peu de hachis*
Bien étalez sur chaque rectangle.
Arrosez d’un peu d’huile.
Posez les rougets dessus.
Remettez du hachis sur les poissons.
Repliez le poisson en papillote
Et faites cuire sur le grill
Pendant quinze minutes environ,
En les retournant à mi cuisson.
Servez les poissons
dans leurs papillotes.
Bon Appétit
- 16-04-2015
20 commentaires -
POÈME D'hier
FRANCIS JAMMES
1868 – 1938
J’AIME DANS LE TEMPS
J’aime dans le temps Clara d’Ellébeuse
L’écolière, des anciens pensionnats,
Qui allait, les soirs chauds, sous les tilleuls
Lire les magazines d’autrefois.
Je n’aime qu’elle, et je sens sur mon cœur
La lumière bleue de sa gorge blanche.
Où est elle ? où était donc ce bonheur ?
Dans sa chambre claire il entrait des branches.
Elle n’est peut être pas encore morte
- ou peut être que nous l’étions tous deux.
La grande cour avait des feuilles mortes
Dans le vent froid des fins d’été très vieux.
Te souviens tu de ces plumes de paon,
Dans un grand vase, auprès de coquillages ?...
On apprenait qu’on avait fait naufrage,
On appelait Terre Neuve : le Banc.
Viens, viens ma chère Clara d’Ellébeuse :
Aimons nous encore si tu existes.
Le vieux jardin a vieilles tulipes.
Viens toute nue,o Clara D’Ellébeuse.
Diffusion François Beauval
1ér trimestre 1975
J G R C
07/06/2013
20 commentaires